Brève présentation des Dumont/Demon
C’est notoire que ces Dumont ont la méchanceté dans chacun de leurs globules. Au tout début de mars 2004 les nommés Patrice et Jean Baptiste Anthony, à grand renfort de publicité diffusée sur Radyo Kiskeya avec la voix lugubre de Patrice même, ont incité les partisans GNB d’André Apaid à lyncher le père Sauvaget. En ce temps là, le prélat qu’ils reprochaient d’être le défenseur des pauvres était curé de la paroisse de Sainte Rose de Lima de Léogâne.
« Tout moun Leyogàn rasanble dimanch 7 Mas nou pral dechouke pè Sovajè pou n ka fè l kite frekan ». A la date annoncée, épaulés par les assaillants sans foi ni loi de Guy Philippe, Patrice, Anthony, leurs trois frères ont rameuté leurs hordes de sauvages pour lapider le Père Sauvaget. Sous les regards passifs de cette police entièrement acquise à Boulos, ils se sont rendus au presbytère de Léogâne pour réaliser leurs forfaits. Armés de machettes, de coutelas, d’armes de guerre, de batons contenant des clous, des pierres et de piques, leur objectif primordial était de lyncher le prélat.
Pa mande m kouman pè Sauvaget te fè, men li te rive sove anba grif lafanmi Dumont/Demon yo. Sur la simple base de ces faits irréfutables de cette tentative de lynchage de prêtre, la mère de la fillette n’avait point besoin du support de vidéo pour avoir la preuve qu’Anthony a commis un viol sur sa fillette. Si Patrice a pu appeler publiquement au lynchage d’un prêtre sans s’inquiéter, aujourd’hui protégé par la cuirasse de l’immunité parlementaire, il peut bien encourager son frère à commettre un viol sur une mineure. C’est la moindre des choses. Frè chèf fè kadejak sou yon ti fi 11 lane se fini !!! Lajistis Danton Lejè a rete akote.
Le RNDDH exige
« Le RNDDH exige que justice soit rendue à la victime », a déclaré sans ambages Marie Yolène Gilles-Colas, ce vendredi 24 mars au bureau du commissaire du gouvernement, Jean Danton Léger, ki se bon matchòpwèl chèf kadejakè a yon bay pou Anthony Dumont/demon an. En annonçant ce crime sur les ondes d’une station de radio de la capitale, tout le monde sentait toute l’indignation qui envahissait Mme Gilles /Collas. Tellement préoccupée par cette affaire de viol sur une mineure par le kadejakè Anthony Dumont, elle exhorte la justice à faire son travail avec impartialité.
« Le RNDDH dispose d’une vidéo qui montre clairement le visage du violeur patenté et la fillette en plein ébats érotiques. Le support d’une caméra cachée par la mère de l’enfant dans la chambre où le forfait a été réalisé a beaucoup aidé à établir les faits sans l’ombre d’un doute. Les images irréfutables ont mis à nu toutes les astuces de l’agresseur pédophile qui fait tout ce qu’on peut imaginer dans une relation intime entre deux adultes ». Ainsi Marie Yolène Gilles a confirmé la thèse du viol sur mineure.
L’ancien député de Léogâne actuel violeur yon videwo kenbe de men l nan komisyon ankèt ti fi a, abonde pourtant en toupets et en matoiseries. Kadejakè de son état, pourtant feint de nier les accusations d’attouchements sexuels sur la fillette de 11 ans qu’on lui reproche. « Je n’ai rien à voir dans ce dossier. Je n’ai aucun problème à ce que la justice tranche sur cette affaire », a déclaré Jean Anthony Dumont violeur en mauvais état, mais heureusement en bon état d’arrestation.
Le violeur authentifié sur la base de preuves palpables grâce à ce support vidéo prétend que c’est un coup monté kòmkwa se ta nan yon tuvoudra yo ta pran l. Poukisa nonm Dimon/Demon an pran moun la a ? Violant le secret sexuel, l’accusé fait savoir que sa concubine confirmée lui doit une forte somme d’argent. Ala nonm peng papa sanble misye pa janm ba manzè menm yon adoken epi chak tan l bezwen bon jan plezi se lakay li li vini. Se yon piyay 13 jen ? Sanble lè ti Sina te mouri a se nan men manzè li te kite komisyon dankèt li a.
« Je n’ai pas besoin de faveur de la justice. Et je crois en la justice de mon pays », a fait savoir le kadejakè Anthony Dumont/Demon quelques heures avant qu’il se soit rendu au commissariat Oméga dans la commune de Carrefour dans la soirée du samedi 25 février. « Malheur à celui par qui le scandale arrive. La femme de César ne doit être soupçonnée », a-t-il soutenu tout en prétendant faire pleine et entière confiance dans la justice de son pays au point de se croire autorisé à violer une mineure. Vakabon ak kolera se marasa.
Fort de ces déclarations à l’emporte pièce, l’on peut comprendre aisément la raison pour laquelle le pédophile n’éprouvait aucune crainte à abuser sexuellement la fillette de 11 ans. Le parquet de Port-au-Prince a procédé à la saisine du cabinet d’instruction. Après les démarches administratives, l’ancien député de Léogâne sera transféré au pénitencier national, a en croire la porte-parole du parquet de Port-au-Prince, Mirlande Dupiche Prévost.
Le Réseau national de défense des droits Humains (RNDDH), dans une note datée du 23 février, accuse d’attouchements sexuels sur mineure Jean Baptiste Anthony Dumont, ancien député de la 48ème législature, candidat malheureux aux élections de 2010 et de 2015 pour le poste de député pour la circonscription de Léogâne, actuellement responsable d’un parti politique, enseignant, notaire de Léogâne gwo Kadejakè epi gwo pedofil devan Letènèl.
Etablissons les faits
Jean Baptiste Anthony Dumont obsédé de violence sur le père Sauvaget et de sexe sur une fillette de 11 ans entretient, depuis plusieurs mois, une relation de concubinage avec une jeune femme à l’insu de son épouse, ki tèlman jalou li t ap tou koupe koulou misye si l te konn sa. La nouvelle nana du pédophile est mère célibataire d’une petite fille âgée de onze (11) ans. Au fil des mois Jean Baptiste Anthony Dumont fait tout pour créer des occasions pour matérialiser ses instincts de pédophile.
Il s’est mis à manifester de plus en plus d’intérêt pour la fille de sa compagne, prétextant vouloir l’aider à réussir l’éducation et la formation académique de sa fille, détournant ainsi les soupçons pourtant fondés de la mère ainsi que ceux des membres de la famille de celle-ci. Cependant, à la stupeur de la mère, le 3 janvier 2017, sa fillette lui confie que Jean Baptiste Anthony Dumont lui fait continuellement des déclarations incompréhensibles et lui demande de lui permettre de l’embrasser sur la bouche et au vagin. Si w wè l renmen fè ti bèf konsa sanble li pa gason ankò ?
Se sa tifi a sonje men pou jan nonm Dimon sa a vakabon li fè plis bagay toujou. Ne voulant banaliser ces confidences par peur d’obliger celle-ci à une confrontation avec son agresseur, elle fait l’acquisition, au cours du mois de février 2017, d’une caméra vidéo qu’elle installa dans sa chambre, à l’insu de l’agresseur kadejakè. O se gwo koze !!!
Pour lui donner le champ libre, elle lui fait comprendre qu’elle s’est rendue à Hinche pour quelques jours ; le temps d’y régler certaines affaires importantes notamment la vente d’un terrain. Le 17 février 2017, croyant que la mère effectivement s’en est allée à Hinche, le délinquant sexuel Dumont ki konprann lekòl lage se rend chez la fillette li panse se nan jaden papa l li pral rantre li sot lakay li ak tòch li tou limen. En l’absence de sa mère, la garde de la fillette était confiée à une cousine de celle-ci.
Dans l’idée de l’éloigner, Dumont, lui file un billet de mille (1000) gourdes. Jan anpil moun pale kadejakè a sanble te konn sable manzè tou. Croyant être seul dans la maison avec la fillette, il l’a agressée par des attouchements qui ne laissent aucun doute sur leur nature ; puis, il a fait promettre à la fillette de ne rien raconter à sa mère.
La vidéographie est là, montrant les visages de la fillette et de l’agresseur exhibant son pénis en érection. Malgretou, Dumont/Demon, ayant décroché un doctorat en astuce et en fourberie, a nié tous les faits en dépit de tant d’évidences, croyant qu’il ne s’agissait que de sa parole contre celle de la mineure.
Pressions et répressions
La mère de la victime confie à la presse qu’elle est harcelée par des proches de l’agresseur de sa fille. Son courtier aurait même laissé entendre qu’il serait prêt à verser une forte somme d’argent dans le but d’étouffer l’affaire et d’épargner sa famille de cet esclandre. Le RNDDH s’est entretenu avec l’agresseur qui a encore une fois nié son implication dans l’agression sexuelle et a affirmé avoir été drogué dans la maison, après qu’un verre d’eau au goût amer lui a été offert (par qui ?).
Le RNDDH met en garde tous les proches de Dumont qui tentent de convaincre la mère de la victime de s’entendre à l’amiable avec l’agresseur. De plus, le RNDDH rappelle que le Code pénal, en ses articles 278 et 279, précise ce qui suit: Quiconque aura commis un crime de viol ou sera coupable de toute autre agression sexuelle, consommée ou tentée avec violence, menaces, surprise ou pression psychologique contre la personne de l’un ou l’autre sexe, sera puni de dix ans de travaux forcés. Chawa pete !!!
Interrogations pertinentes
Qu’est-ce-qui pourrait motiver la mère de la fillette de l’exposer à la rage de sexe et de chair fraîche du pédophile Dumont/Demon ? Combien d’autres fillettes Dumont/Demon n’a-t-il pas déflorées avec exaspération loin des caméras cachées ou visibles ? La concubine de Dumont/Demon ne doit-elle pas répondre par devant la justice à titre de complice pour le fait d’avoir ainsi exposé sa fille juste à des fins pécuniaires ?
La famille Dumont/Demon pense-t-elle pouvoir échapper aux anathèmes du père Sauvaget qu’elle avait tenté de lapider en mars 2004 ? Jodi a se Antoni demen se va Patris ak 3 lòt frè l yo ak sè l la. Pè Gérard Jean Juste, dans ton séjour d’outre tombe, aurais tu déjà oublié que tu as été lapidé rageusement sur la Place Saint Pierre à Pétion-Ville en aout 2004, en plein jour par le tortionnaire notoire Hervé Saintilus et Magali Comeau Denis. Ces images précieuses sont encore vivantes.
Présent sur les lieux de cette horrible scène de lynchage, nous n’avons pu rien faire pour t’épargner de l’aigreur de ce sousou GNB qui voulait à tout prix faire plaisir à André Apaid, Rony Desroches, Magali Comeau Denis, Lionel Trouillot et autres monarques GNB sous fifres des ambassades occidentales. Alòs Pè Janjis ki sa w ap tann pou w fè yo kenbe Hervé Saintillus tou ? Monpè, ou nan twòp santiman ak asasen ki te lapide w yo. Piga w vin di : padone yo paske yo pat konn sa yo t ap fè !!! Vakabon rete vakabon. Yo konn byen sa yo t ap fè. !