En Ukraine, les troupes russes ont affirmé avoir récemment affronté des soldates – de jeunes Ukrainiennes en uniforme – et en avoir capturé plusieurs, dont une au moins était enceinte. Il semblerait donc qu’après avoir subi des pertes effroyables (environ 400 000 morts, ce qui voudrait dire aussi, en plus, 1 200 000 blessés, la proportion « normale » en guerre moderne étant de 3 blessés pour un mort) la clique Zélenski ait décidé d’expédier au hachoir à viande des femmes en âge de procréer.
C’est très grave…
Il peut sembler sexiste que la guerre soit, depuis des millénaires, une affaire d’hommes. Et je ne doute pas que certaines féministes pensent que le privilège masculin d’aller se faire transformer en viande hachée dans quelqu’abattoir baptisé champ de bataille soit une manifestation de plus du bien connu chauvinisme mâle. Toutefois, il y a d’excellentes raisons d’épargner à la plus belle moitié de notre espèce les bouts de métal circulant à la vitesse grand V, explosions, et autres avanies courantes en guerre. Car alors que n’importe quel porteur de phallus en état de marche peut mettre un bébé en chantier en dix secondes ou moins, cela prend neuf mois à une femme pour accoucher du produit fini (compte non tenu des dix-huit ou vingt ans de soins nécessaires pour le mener à l’état d’adulte indépendant, soins dont se chargent principalement… les femmes!). Il est donc évident qu’envoyer en masse des femmes se faire étriper au front, quelque puisse être leur héroïsme, est une très mauvaise idée : à la limite, cela met en péril la production même d’une prochaine génération par absence de mères potentielles. Si des quantités massives de jeunes Ukrainiennes se font massacrer, QUI donnera naissance aux futurs Ukrainiens ? Certainement pas Zélenski : aux dernières nouvelles, il n’est pas, en tant que membre du sexe mâle (si sa barbe n’est pas postiche) équipé pour !
Soit dit en passant, il est criminel d’envoyer des gens, femmes ou hommes, se faire massacrer dans une guerre manifestement perdue. Et perdue elle l’est : la contre-offensive ukrainienne de l’automne dernier a été un échec retentissant. Informés par Zélenski, Zaloujni et bien d’autres de tout ce qui concernait cette attaque (ce qui est une première dans l’histoire militaire : d’habitude, on fait l’impossible pour cacher ses intentions) les Russes avaient préparé aux Ukrainiens un Comité de Réception en bonne et due forme. En gros, une version revue, corrigée et modernisée de ce que l’Armée Rouge soviétique avait fait à la Wehrmacht hitlérienne à Koursk, en juillet 1943 (voir The Battle of Kursk, par David M. Glantz et Jonathan M. House, University Press of Kansas, 1999). Et alors que la Wehrmacht avait presque percé les lignes soviétiques, et n’avait été stoppée que par une charge héroïque de la 5e Armée de tanks de la Garde du général Pavel Rotmistrov, l’armée Ukrainienne, l’automne dernier, a été arrêtée en avant des premières lignes Russes, dans ce qu’on appelait autrefois le no man’s land.
Actuellement, en Janvier 2024, les Russes semblent se concentrer dans la destruction de tout ce qui peut avoir une utilité militaire en Ukraine, à coups de frappes de drones (avions sans pilote guidés) et de missiles subsoniques, supersoniques et hypersoniques, en gros tous les 5 jours – le temps bien sûr d’évaluer les dégâts. Et ils prennent un malin plaisir à cibler les hôtels logeant les mercenaires étrangers et les gwo palto de l’OTAN. Je viens d’apprendre qu’un de ces hôtels, à Kharkov, qui abritait 200 mercenaires française, vient ainsi de partir en fumée, avec contenu bon à ramasser à la petite cuiller. C’est la guerre…
Il semblerait que ces « mercenaires » aient été, en fait, des militaires français en service actif. Inutile de rappeler qu’envoyer des militaires participer à des opérations dans un pays étranger est un acte de guerre. Les Russes ne semblent pas vouloir envenimer les choses. Toutefois, l’ambassadeur de France à Moscou a été convoqué au ministère russe des Affaires Etrangères, où il s’est fait, je suppose, tirer un peu les oreilles, car Macron s’est empressé de déclarer que la France n’est pas en guerre avec la Russie. On aurait cru…
L’audace de Macron vient certainement du fait qu’il sait que Vladimir Poutine n’est pas homme à lancer un Kinjal sur son palais de l’Elysée (Bons baisers de Moscou, Emmanuel dorogoy!). Mais la vie m’a appris que les gens calmes, lorsqu’on les pousse à bout, peuvent se révéler d’humeur particulièrement massacrante. Et qui cherche les ennuis finit toujours par les trouver…
Autre provocation : l’OTAN (encore lui!) lance des manœuvres tout près des frontières occidentales de l’Ukraine, avec 90 000 hommes. Mais la STAVKA russe doit bien rigoler : il y a, en Ukraine et dans les environs, au bas mot 700 000 soldats russes, avec tous les batanklan etenn souf qu’ils peuvent désirer. Alors, si le cœur vous en dit, Messieurs les OTANiens…
Et ce fou furieux de Zélenski qui, maintenant, menace publiquement les enfants et petits-enfants du président russe ! S’il se prenait un Iskander M dans la barbe à poux, il ne l’aurait pas volé…
En 2022, Frau Ursula van der Leyen, qui sévit à la Commission Européenne, avait déclaré que les Russes en étaient réduits à extraire les microchips de leurs machines à laver pour les mettre dans leurs missiles. A constater la précision quasi-magique des Kinjal (« poignard ») Kalibr, et autres Iskander (« Alexandre le Grand ») force est de conclure que les lessiveuses des Katia, Liouba, Galina, elatriye, étaient de First Quality ! Incidemment, le Kinjal vole dix fois plus vite que le son, peut changer de direction et d’altitude, et tombe verticalement à trois mètres ou moins de sa cible. Allez arrêter cette Sainte Terreur !
Le Projet Ukraine, qui était de se servir des Ukrainiens comme chair à canon pour démembrer la Russie en cinq morceaux que l’Occident soi-disant chrétien pourrait facilement piller, a échoué, tout comme le rêve sanguinaire du caporal moustachu autrichien. Il ne s’agit plus de savoir si l’Ukraine va devoir capituler, mais quand. Mais en attendant, après avoir expédié tous les hommes en état de porter les armes à la boucherie, la clique néo-nazie au pouvoir à Kiev veut de surcroît exterminer les femmes. C’est affreux.
En Juillet 1944, le vieux maréchal Gerd von Rundstedt, criminel de guerre comme la plupart, mais intelligent, voyant l’Allemagne prise en sandwich entre les Anglo-Américains suréquipés, à l’Ouest, et une Armée Rouge de fort mauvaise humeur à l’Est, avait répondu à Alfred Jodl, qui lui demandait que faire, Faites la Paix, imbéciles ! Le maréchal, qui en était à sa deuxième guerre perdue, savait au moins juger une situation stratégique. Il semblerait que personne, en Occident et en 2024, ne sache plus le faire. A moins que les grands fabricants d’armes, qui ne s’engraissent que lorsque les gens s’étripent, n’aient colonisé les gouvernements…
A Gaza, l’État juif d’Israël est en train de faire aux Palestiniens ce que l’Allemagne Nazie fit aux Juifs d’Europe. Il n’y manque guère que les fours crématoires… L’Empire du Bien proteste – plus ou moins mollement – et refile anba-anba quelques grosses bombes de plus aux bombardiers génocidaires de Mein Führer Benyamin Netanyahou.
L’Occident prétendu chrétien semble n’avoir qu’une solution one size fits all à tous les problèmes possibles et imaginables : la guerre éternelle. Ce n’est pas autre chose qu’un retour Hi Tech à la barbarie des temps anciens, où la force primait le Droit, et la raison du plus fort était toujours la meilleure. Cependant, il n’est plus, et de loin, le plus fort. Alors Nou poko fin wè, nou fenk kare wè ! (Daniel Fignolé, 1957).
« Tu as semé le vent, tu récolteras la tempête… » proclame la Bible depuis trois mille ans. La néo-barbarie dominante en Occident ne l’a certainement pas lue. Elle devrait…
[…] La néo-barbarie Haiti Liberte […]