L’impérialisme n’a aucune éthique. Son ambition dévorante le porte jusqu’à penser que personne d’autre n’existe dans le monde, sauf lui avec ses instruments militaires de répression, d’oppression, de conquête et d’annexion hégémonique. On le voit aujourd’hui à l’œuvre dans le cas du peuple du Venezuela et de son gouvernement légitime dont le seul crime est de vouloir vivre en paix.
L’impérialisme agit au grand jour à la reconquête des pays qui ont choisi la voie non capitaliste pour le développement harmonieux et stable de leurs ressources naturelles.
N’est-ce pas un manque de respect pour ses partisans, et sympathisants ? N’est-ce pas une façon de les dénigrer, de même se moquer d’eux comme s’ils n’étaient que des gens n’ayant point la faculté de comprendre et de discerner la vérité du mensonge, puisque tout ce qu’il leur raconte est accueilli, applaudi sans la moindre critique, sans la moindre exigence de preuves convaincantes.
L’arrogance démesurée de certains représentants de l’empire occidental ne s’adresse à leur propre peuple que pour les mystifier.
Dans quelle catégorie d’hommes et de femmes peut-on classer ces dirigeants qui font du mensonge une stratégie politique. Ils vous regardent dans les yeux et n’ont pas honte de faire des déclarations trompeuses avec un cynisme tout à fait éculé.
Quiconque peut arriver à ce niveau de délabrement mental, faisant des accusations à l’emporte-pièce relevant simplement de sa propre imagination, peut-il être considéré comme un humain pourvu d’intelligence, d’un sens d’éthique et de grandeur ?
Quelle indignation ! La barbarie impériale a mis le monde dans un état où toutes les institutions sont discréditées. A quoi bon former des générations montantes si la force d’une propagande perverse va leur dicter le contraire, les forcer à accepter l’opposé de ce qui est vrai jusqu’à leur faire accepter le mal pour le bien, en falsifiant l’histoire, en invoquant une politique de coquins, une campagne d’intoxication visant à jeter la confusion, à faire peur aux autres peuples luttant à travers un combat libérateur pour un lendemain meilleur.
Les capitalistes ont donné à l’amitié une autre connotation, un contenu beaucoup plus conforme à leurs intérêts. Pour eux, être leurs amis, c’est être traitre à votre patrie, c’est leur céder votre pays à vil prix, c’est autoriser implicitement sur votre sol l’organisation destinée à semer la terreur, le désordre et même l’assassinat.
Qui veut jouer le rôle de tels amis sauf les mercenaires made in USA, des valets, des contras de la trempe d’un Juan Guaidó.
L’impérialisme, même quand il est dans ses dernières convulsions agonisantes, qui veut-il tromper, utilisant ces propagandistes mensongers, trafiquants de l’obscurantisme qui se sont lancés dans des calomnies et commentaires les plus outrancières à l’endroit des combattants pour la liberté et la dignité ?
Devons-nous laisser l’impérialisme agir comme bon lui semble dans sa politique de génocide, de persécuter les peuples pour leurs richesses ? Faut-il lui laisser le luxe et la liberté d’exécuter intégralement ses complots, lui permettre que le vol des biens d’autrui soit érigé en système de gouvernance ?
Nous laissons aux peuples du monde, le soin de tirer la leçon qui convient de cette barbarie impériale. A quoi bon organiser des élections si elles doivent être un gage de fidélité ou de soumission aux forces impérialistes !
Le peuple vénézuélien doit combattre l’idée que son pays devienne une nation de mendiants, d’indigents, de corruption et d’aliénation, comme la nôtre malade de l’exploitation de l’occupation et sous une domination centenaire des puissances impérialistes.
Ce combat du peuple vénézuélien est celui de tous les peuples exploités comme il est le nôtre et nous devons le mener contre la barbarie impériale jusqu’à ce que disparaissent de la scène mondiale ces potentats genre Trump, Macron et tout le reste du même acabit.
La victoire des Chavistes et de la Révolution Bolivarienne est certaine ! Que la lutte continue ! Vaincre ou mourir !